« La France tombera très bas, plus bas que les
autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu’elle se sera
choisis. Elle aura le nez dans la poussière. Il n’y aura plus rien. Mais dans sa
détresse, elle se souviendra de Dieu. Alors elle criera vers lui, et c'est la
Sainte Vierge qui viendra la sauver. La France retrouvera alors sa vocation de
Fille aînée de l'Eglise, et elle sera le lieu de la plus grande effusion de
l'Esprit Saint. »
Marthe
Robin au Père Finet, 1936.
« On a copieusement écrit, depuis Jules César,
sur la « douce France », mais personne, je crois, n’a fait, sur ce
pays, l’étrange découverte que j’énonce ici : la France est la terre
promise du Satanisme. »
Giovanni
Papini, Le Diable.
La
carte de France du résultat du vote au premier tour des présidentielles de 2017
est d’un intérêt métaphysique absolument fondamental.
Un blog a déjà effectué la comparaison exacte entre cette carte et celle du
Royaume de France au XIIè siècle, constatant que la France de Macron se
superposait rigoureusement à celle des Plantagenêt. La coïncidence est
stupéfiante. Mais quelle en est la raison ? Quelle est la véritable constante historique de cet état de
fait ?
Cela
fait des dizaines d’années que je me tue à répéter à tout le monde que la
fracture ontologique de la France ne se situe pas du tout entre le nord et le
sud (avec souvent la Loire choisie comme frontière arbitraire, ce qui est
d’autant plus stupide que ce fleuve prend sa source dans le sud du pays), mais
entre l’ouest et l’est.
La
France anglaise, athée ou néo-protestante, semi-plate et entièrement tournée
vers l’Océan infranchissable contre la Gaule catholique, celte, montagneuse et
méditerranéenne, orientée vers le cœur du continent.
Neustrie
contre Austrasie.
Les
Plantagenêt contre le Saint-Empire.
La
France des gagnants de la mondialisation contre celle de l’abstention. Enfouis
dans leurs terriers sur les pentes du Mont-Cenis, les lapins ne votent pas.
La
France de Macron n’est pas celle du vin, du fromage et de la charcuterie. Le
duc d’Aquitaine préfère les crêpes au beurre.
Je
suis traversé en permanence par la vision de Claude-Sosthène Grasset d’Orcet, pour qui l’histoire de la France
est modelée par deux courants tour à tour antagonistes et complémentaires, portés
par deux confréries initiatiques invisibles, deux « races » spirituelles
absolument distinctes l’une de l’autre : les Phrygiens et les Delphiens.
D’un
côté : les Gastrolâtres (selon l’acception de Rabelais), les Ménestrels de
Murcie, Jeanne d’Arc et le pays Beaucéan, la Madone assise, les paysans
travailleurs aux dieux solaires, les Jésuites et les Templiers, l’Ordre
chrétien populaire et révolutionnaire. Son moteur secret est le Graal solaire,
lié à l’épopée spirituelle des Templiers en vue de l’établissement
supra-national du Regnum Sanctum. Le lieu phrygien par excellence est la Paroisse de l’Eglise primitive des
Gaules. La crypte de l’Abbaye Saint-Victor en constitue le modèle absolu.
De
l’autre côté : les Engastromythes (toujours selon Rabelais), les
Ménestrels de Morvan, l’Oriflamme de Montjoie Saint-Denis, la Madone debout,
l’Aristocratie torricole, les élites franques, capétiennes, etc. Son moteur secret est le Graal
lunaire. Pour Grasset d’Orcet, les Albigeois faisaient partie de cette
invisible confrérie, liée à la cosmogonie mérovingienne, ce qui est d’une
logique irréfutable. Il est très important de comprendre que la voie
cathare ne se situe résolument pas du côté celte. Le lieu delphien par excellence
est le Château royal, concrétisé par
la ville néo-isiaque de Paris.
Ces
deux « confréries » souterraines symbolisent le rapport permanent et
cyclique entre le Soleil et la Lune, le rapport entre un certain peuple et une
certaine aristocratie, soit un reflet, à mon sens, du rapport historique entre
la communauté de l’être, ou communauté organique primitive (celle de l’Age
d’Or, l’ordre dorique ou guelfe) et la société hiérarchisée advenue pendant
l’Age d’Argent (l’ordre ionique ou gibelin). Comme je l’ai proposé à Rennes-le-Château en janvier 2014, on
peut assigner une signification supplémentaire à ces deux courants de
l’histoire française vus par Grasset d’Orcet, une signification directement
liée à une double origine fondationnelle de notre pays, soit la coexistence
intrinsèquement française, tacite ou explosive suivant les époques, entre une cosmogonie celte solaire et une
cosmogonie mérovingienne lunaire.
La
première pourrait prendre racine chez Sucellos, le dieu gaulois qui tue et qui
ressuscite, et sa parèdre Nantosuelte, déesse de la fécondité, puis se
prolonger avec le culte initialement massaliote de Marie-Madeleine, s’incarner
dans la Paroisse celte et hellène de l’Eglise Orthodoxe primitive des
Gaules, rayonner dans la théologie anti-dualiste de Scot Erigène, et se
magnifier à travers l’épopée spirituelle et grand-continentale des Templiers. L’âme
entièrement tournée vers l’est, vers les replis constantinopolitains de
l’Empire vivant et agissant. Le rite templier était byzantin. Grandeur de Rome
et de ses devenirs successifs à travers les âges.
La
cosmogonie mérovingienne, quant à elle, régit l’esprit de la noblesse exogène
élue pour hiérarchiser et centraliser la France sur un axe séthien,
construisant un Château royal afin de mieux pouvoir défendre notre
barque durant la traversée nocturne du monde d’en-dessous, la barque
insubmersible de Paris.
Les
cœurs géographiques de ces deux cosmogonies sont au sommet de deux régions
sacrées, ce sont deux montagnes ardentes dont j’ai bien fini par comprendre qu’elles
étaient absolument inconciliables entre elles : il s’agit bien de la
Sainte-Baume et du pic de Bugarach, deux monts analogues géologiquement
inversés : les couches du crétacé à la base, et les jurassiques tout en
haut. Plus on est proche du sommet, et plus on remonte le temps.
Et
si l’on est de l’une de ces montagnes, on ne peut pas être de l’autre.
Le
combat apocalyptique et définitif entre la Gaule et la France a débuté au
moment précis où Sainte Marie-Madeleine appela Saint Michel pour l’aider à
chasser l’antique dragon de la grotte de la Sainte-Baume afin de pouvoir y
prendre sa place. Vue du ciel, la courbe minérale du massif de la Sainte-Baume
dessine les contours exacts d’un dragon allongé au sol. Terrassé par la
nouvelle Isis, l’âme du dragon ne fut malheureusement pas emprisonnée à
Tarascon comme le raconte la légende. Elle s’en alla jusqu’aux contreforts des
Pyrénées pour y établir son foyer ardent, puis de là s’agrandit progressivement
en spirale inversée jusqu’aux frontières du pays, édifiant ainsi le royaume de
Seth.
Bien
avant la Saint-Barthélemy, qui vit émerger au grand jour le clivage sanglant
entre Phrygiens et Delphiens, le XIVè siècle constitua l’un des sommets
visibles de la confrontation la plus ardente entre ces deux courants (évoqués à
leur manière par certains historiens comme Camille Jullian ou Ferdinand Lot).
Le 18 mars 1314, Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay furent brûlés vifs sur
l’île de la Cité, en cet endroit dénommé aujourd’hui le Square du Vert-Galant.
A quelques centaines de mètres, et un an plus tôt, Philippe le Bel se faisait
construire la Grande Salle du Palais de la Cité, ornée des statues de tous les
rois de France, depuis Pharamond jusqu’à lui-même. Le roi Philippe voulait
renforcer sa légitimité au-delà de Clovis, en rappelant que les trois « races »
(Mérovingiens, Carolingiens et Capétiens) n’en formaient plus qu’une dont les
sangs s’étaient mélangés en lui, le Bellator Rex.
La
Révolution française constitua un autre sommet visible de la confrontation
entre Paroisse et Château, puisque selon Grasset d’Orcet, reprenant la thèse de
Nicolas de Bonneville, « Louis XVI aurait été condamné à mort par un collège de
jésuites archigaulois en février 1785. Il était accusé d’avoir renié la loi de
la race Belenus ». Cette loi n’étant autre que le Pacte de Saint Remi entre
peuple et élites, héritier d’un pacte druidique visant à protéger les paysans
des ravages de la guerre, et rendu caduque lorsque ces dernières se sont
livrées à la spéculation sur le grain à partir de la Renaissance.
On
ne peut certes pas affirmer que ces « jésuites archigaulois » aient
choisi la bonne stratégie. Ceux qui les ont aidés à accomplir leur vengeance
avaient d’autres idées en tête. La Gaule a voulu se venger de la France, mais
l’Occident a tout raflé. Une leçon à retenir.
Du
Mexique au Cambodge, les pays du monde entier sont passés de manière plus ou
moins violente, plus ou moins rapide, de leur état antérieur merveilleusement
archaïque à la modernité athée, agglutinante et diarrhéique. La spécificité de
l’histoire de notre pays est qu’elle est nettement modulée, non pas en deux
mouvements mais en trois : d’abord la Gaule (élément de la gigantesque matrice
celte de l’Europe), puis la trahison de la Gaule par la France, et enfin la
trahison de la France par l’Occident.
Cette
tragédie en trois temps suit la trajectoire géographique suivante : de
Massalia à Lyon, puis de Lyon à Paris.
Marseille
fille ainée de l’église, cité de Magdala, de son frère Lazare puis de saint
Jean Cassien, cité du Tarot et de la Vierge Noire des cryptes de Saint-Victor,
dont la photographie inaugure « Le Mystère des Cathédrales » de
Fulcanelli. Mille ans après, Lyon prend le relais et transforme le mystère en
énigme avec le réseau souterrain des Arêtes de Poisson renfermant le trésor
3Q15 de Guillaume de Beaujeu, et puis Rabelais et l’imprimerie.
Et
la Société Angélique décida de partir à Paris. Déchéance de l’énigme en occultisme.
La France est un TGV à l’envers (Marseille-Lyon-Paris) qui fonce en droite
ligne vers le gouffre anal de la Conciergerie.
Mystère
/ Enigme / Secret. De l’initié magdalénien à la chandelle verte au franc-mac GLNF, la chute est rude.
L’élaboration
de la France autour de l’Ile-de-France se fit délibérément contre son peuple, tous
nos rois (de nature ethnique absolument différente de la nôtre) s’étant
scrupuleusement, précautionneusement et très minutieusement appliqués à
débarrasser le pays de la moindre trace de langue, de culture ou d’architecture
celtes. Haine radicale et absolue des Francs envers notre foutre.
Céline
n’écrivait pas autre chose dans ses Bagatelles,
quand il trouvait que nos rois avaient vraiment un drôle de nez…
Et
je me répète sur le fait que l’occidentalisation du monde a fait exactement subir
à la France ce que la France a fait elle-même subir à la Gaule, en usant des
mêmes méthodes et des mêmes moyens. L’éradication
anti-traditionaliste de la civilisation celto-chrétienne par l’appareil
administratif parisien est le modèle structurel et archétypal de
l’occidentalisation du monde.
L’Occident est une méta-France. Les « valeurs
universelles de la France », celles des Droits de l’Homme, de Jules Ferry,
d’Alain Madelin, d’Emmanuel Macron ou de Jean-Luc Mélenchon sont le cadre historique
du Nouvel Ordre Mondial.
Voter Macron, c’est voter pour l’Occident qui tue la
France.
Voter Le Pen, c’est voter pour la France qui a tué
la Gaule. Juste un décalage temporel entre les deux.
Ne pas voter, c’est sentir bouillir dans ses veines
le sang très-ancien du loup-garou. Le loup-garou solaire, celui qui s’éveille
lorsque la Pleine Lune tombe à midi. Le plus dangereux, le plus irréductible de
tous les loups-garous.
Il est encore trop tôt pour que se lève le conflit définitif, celui qui réglera tout car il touchera au nœud du problème ; un
conflit qui n'aura pas lieu entre patriotes et mondialistes (comme le pensent
les « dissidents » souverainistes de tous bords), mais entre
nationalistes (de gauche comme de droite) et partisans de l’Empire véritable,
l’Empire du Saint-Esprit. L'histoire du monde montre que la naissance des
nations s'est faite avec celle de la modernité. L'effondrement des
empires – ET DONC des spiritualités authentiques – est le
corollaire de ce mouvement historique. Il n'y avait que 80 pays en 1920, et aujourd'hui
plus de 200 !
Les
nations ont été inventées pour morceler les Empires, et détruire les religions
qui en constituaient le socle. Le Saint-Empire romain germanique et l’Empire
ottoman se sont toujours combattus, mais c’est bien la même force historique
qui a provoqué leurs chutes à tous deux. Le nationalisme, c’est le morcellement
des spiritualités et l’avènement historique du règne de la laideur. Une
tragédie de même nature – satanique, bancaire - se terre derrière la fin des
Habsbourg et celle du califat ottoman.
Et
une joie radicale de même nature – christique, apocalyptique – se love dans la
volonté de redresser chacun d’entre eux.
Car
relever l’un, c’est aussi relever l’autre.
Rebâtir
son Empire ne peut se faire qu’en aidant les autres à rebâtir le leur. Du
moins, à ne pas les empêcher de le faire. Petite leçon de géopolitique
internationale. Si vous pensez que l’Empire se fera en bombardant sans
discontinuer l’islam, gare au retour de bâton.
Demandez
à Jacques de Molay ce qu’il pense du nationalisme.
Un
nationaliste indien, chinois, russe ou japonais est un mystique, car sa nation est
un Empire, c’est-à-dire une civilisation, et elle est porteuse d’une
spiritualité qui lui est propre.
Un
nationaliste luxembourgeois ou panaméen est un idiot.
Un
nationaliste français est un masochiste inconscient. Car la France s’est
construite contre son peuple. Nous sommes les indiens des Francs. Once Upon a Time in the West (voir la carte ci-dessus). Il
vous faudra combien de Macrons pour le comprendre ?
L’histoire
entière de la France peut se résumer en une phrase toute simple : chaque
nouveau dirigeant est pire que le précédent. Et ça fait 1500 ans que ça dure. C’est
ça l’histoire de la France, ça n’est rien que ça et ça n’est que ça : l’histoire
d’une chute libre dans l’Occident.
Giscard
nous a fait regretter Pompidou.
Mitterrand
nous a fait regretter Giscard.
Chirac
nous a fait regretter Mitterrand.
Sarkozy
nous a fait regretter Chirac.
Hollande
était le seul et unique homme politique à être capable de nous faire regretter
Sarkozy.
Est-il
possible qu’il existe un homme qui puisse nous donner la nostalgie de la
présidence de Hollande ? Le temps n’est-il pas enfin venu de briser la longue
chaîne des colombins cosmiques ?
Non. Pas encore. Voici
venir un banquier de chez Rothschild. L’existence physique de Macron est la
preuve que nous ne sommes pas encore sortis du Vortex de la Merde.
Je
suis aussi loin que possible de toute attitude démissionnaire. Je ne veux pas
que la lutte contre la France au nom de la Gaule permette à l’Occident de tout rafler,
car je vis en 2017 et pas sous Louis XIV, et en 2017, mon ennemi absolu est l’Occident
bien plus que la France puisque la France a déjà presque tout perdu, il n’y a
rien de plus stupide que de mener une guerre de retard, et les plus grandes
salopes sont bien les gauchistes et les droitards qui estiment que Macron est
le moins pire des deux (et même le moins pire des onze), le mensonge révoltant
de l’esclave qui vote là où on lui dit de le faire.
L’horrible
dégueulis démocratique.
En
Europe, il ne peut y avoir qu’un seul Empire, car il n’y a qu’une seule Rome. Où
qu’elle soit. Laissez les historiens se disputer entre eux pour savoir si la France
est héritière ou non de l’Empire romain. Ce dernier n’a qu’un seul héritier :
l’Eglise. L’Eglise une et indivisible, catholique (universelle dans l’espace)
et orthodoxe (permanente dans le temps).
Faut-il vraiment que je vous fasse une vidéo
de vingt heures avec la lecture intégrale du De Monarchia de Dante ?
« Comme
l’Eglise a son fondement, ainsi l’Empire a le sien. Le fondement de l’Eglise c’est
le Christ. C’est pourquoi l’Apôtre a dit aux Corinthiens : nul ne peut
poser un autre fondement que celui qui a été posé, et ce fondement c’est le
Christ Jésus. Le Christ est la pierre sur laquelle a été bâtie l’Eglise. Le fondement de l’Empire, c’est le droit
humain. Maintenant, voici ce que je soutiens : de même qu’il n’est pas
permis à l’Eglise de s’opposer à son fondement, mais qu’elle doit, au
contraire, toujours s’appuyer sur lui, selon la parole des Cantiques : ‘quelle
est celle qui s’élève du désert, comblée de délices, appuyée sur son bien-aimé’ ;
ainsi l’Empire n’a pas le droit de faire la moindre chose contre le droit
humain. Or l’Empire agirait contre le droit humain, s‘il se détruisait lui-même ;
donc l’Empire n’a pas le droit de se détruire. En effet, morceler l’Empire
serait le détruire, car l’Empire consiste précisément dans l’unité de la
Monarchie universelle ; aussi est-il évident que l’autorité qui détient la
charge de l’Empire n’a pas le droit de briser l’Empire ». (Livre III)
A
la recherche d’une troisième voie impériale, qui passe notamment par la
réconciliation romaine entre catholicisme et orthodoxie sous l’égide du
Christ-Pantocrator, le regard toujours tourné vers l’est, puis par la venue de
cette «Eglise Apocalyptique de Marie» qu’attendait Parvulesco, laquelle sera la
réactivation de l’ancienne Religion polaire de la Terre et du Feu, notre but
est de favoriser l’émergence de ce que l’on peut appeler, selon son propre
désir, l’Empire du Saint-Esprit, l’Etoile Verte, ou bien le Royaume Eurasien de
la Fin des Temps.
«
Seule l’épée est la garante du règne de l’Amour et de la vertu de Dame Charité
». Saint Bernard de Clairvaux
N’espérez
en rien, ne votez jamais. Priez, créez et prenez les armes.
"Fâché à mort", texte que j'avais publié lors de l'entre-deux-tours en avril 2002.
RépondreSupprimerhttps://www.parousia.fr/subversiv-2002
https://media.wix.com/ugd/fcebb2_4d2dee75a59f4e98a09b44fa31f12f41.pdf
Merci Laurent pour ce texte !!!
RépondreSupprimerLe bonjour de Strasbourg ;)
Merci à toi pour ce texte.
RépondreSupprimerUne fois Rebatet et Pellecuer terminés il faudra absolument replonger chez le grand Dante.
Seule l'action et la prière de la Très Sainte Vierge Marie permet encore que ce monde tienne encore ; que ne passe pas un jour sans que nous convoquions son aide et nous battions en Son Nom, pour la Gloire de Dieu et le Salut du Monde.
Affectueusement,
Timothée.
Un tres bon essai. Je vous ai donne un lien et reflechi sur vos themes (du point de vue britanniques) sur notre site 'Albion Awakening' -
RépondreSupprimerhttp://albionawakening.blogspot.co.uk/2017/06/a-deeper-reality.html
Je vous remercie infiniment, je reprends votre texte dans un cadre michaëlique.
SupprimerJ'aime bien le coup du Celte contre le Français… Ou quand un physicien nous explique que les Bretons ne seraient pas Celtes…
RépondreSupprimerIl n'y a pas de différence civilisationnelle ni culturelle entre les deux parties de la France que vous distinguez artificiellement. Vous devriez le savoir puisque vous avez lu César :
« Gallĭă est omnis dīvīsă in partes tres quārūm ūnăm incŏlunt Belgæ ălĭăm Aquītānī tertĭam quī ipsōrŭm linguā Celtæ nostrā Gallī appellantūr. »
La France de Macron et celle des Plantagenêts ne se superposent justement pas, et à moins d'avoir l'aveuglement du croyant ou d'user de la supercherie du cabaliste (ou du luciférien, les deux mots étant synonymes) on le voit au premier coup d'œil Les écarts importants (on dit « stupéfiant » quand, faute d'arguments, on veut impressionner) révèlent ce que ne veulent pas voir les adeptes d'Adam Weishaupt, les ennemis du nationalisme : les vraies raisons du vote pour le F.N. Et les vraies raisons du vote contre le F.N.
Les raisons qui font que vous vous efforciez d'accroire de telles contre-vérités sont les mêmes que celles qui vous poussent à vouloir croire, et faire accroire, que l'État islamique serait un ennemi des États-Unis.
http://reseauinternational.net/general-us-nos-amis-et-allies-ont-fonde-daesh-pour-detruire-le-hezbollah/
Les ennemis du nationalisme sont les impérialistes.
Vous êtes un compagnon de route de l'impérialisme du $ et du Golem de l'O.T.A.N.
Je suis ravi de voir que vous êtes enfin parvenu à poster votre commentaire, après quatre tentatives sous le nom de Bâillonné (par qui ?), ο Αντάρης (ô guerrier du web !), puis enfin Donald Sch'Trumpf (très bon pseudo, très crédible), et puis des changements de phrases ici et là, des rajouts de liens, etc. Si vous aviez une formation de physicien, vous seriez sans doute plus sérieux et méthodique.
SupprimerOui, je pense effectivement que le Français est contre le Celte depuis le début. Vous voudrez bien remarquer qu’il n’y a jamais eu de république démocratique celte, il n’y a jamais eu de Révolution celte proclamant la déclaration des droits de l’homme, etc. Et je n’ai pas besoin de connaître l’avis de l’occupant Jules César pour connaître les caractéristiques de mon pays.
Belle mentalité de soumis que la vôtre.
La France de Macron et celle des Plantagenêts se superposent très justement, à moins d’avoir l’aveuglement de celui qui refuse de lire une carte, car cela se voit au premier coup d’œil. Les internautes qui suivent la loi de Godwin du satanisme (c’est-à-dire qui n’attendent pas plus de 4 lignes avant de taxer leur adversaire de luciférien) sont les mêmes que ceux qui veulent croire, et faire accroire, que le nationalisme est la seule solution pour sortir de l’atlantisme. La première guerre mondiale a eu précisément pour but de faire tomber les empires, et de créer ainsi un maximum de nations. Les ennemis de l’atlantisme sont les empires et les civilisations naturelles.
Vous êtes un compagnon de route de la nation française, de la république et de la démocratie.
La supercherie du lien entre les Plantagenêts et le vote macroniste démontée en une image :
RépondreSupprimerhttp://i.f1g.fr/media/figaro/805x850/2017/05/14/XVM272fbe66-3953-11e7-8018-1134ab7dd4db-805x850.jpg
On voit bien que le vote macroniste est le plus fort dans les portions peu industrialisées de la France, où l'immigration esr encore peu marquée, et dans les grandes villes, où les politiques d'urbanisme n'ont guère laissé subsister que les bobos et les immigrés.
Le vote frontiste se concentre dans les zones rurales et « rurbaines » où le white flight a concentré les Français de souche subsistant des régions les plus concernées par l'immigration.
Les amateurs d'anecdotes remarqueront que la région la plus protestante de France (luthérienne, et non calviniste) a voté largement pour le F.N., et il faut rappeler que les musulmans ont voté au second tour à 90 % pour Macron.
Ceux qui, par manichéisme, voudraient que les musulmans et les électeurs du F.N. soient dans une même catégorie, et les protestants dans une autre, font de grands efforts pour détourner leurs yeux du monde concret. Il leur faudra à la fin prendre des « stupéfiant[s] ».
On se rappelle que les Plantagenêts étaient catholiques, non protestants. Et que les provinces de l'ouest de la France, rivales de l'Angleterre, furent régulièrement les plus opposées à la domination de celle-ci.
Je vous remercie indéfiniment de mettre en lien une image de plus montrant de manière irréfutable la présence du vote Macron à l’ouest de la France, et celui du vote Le Pen à l’est, ce qui constitue justement le fond de ma pensée ! Merci mille fois d’apporter ces arguments supplémentaires. L’ouest de la France est en effet la région qui contient le moins de zones urbanisées, celle qui contient le moins d’immigrés, et celle qui vote le plus massivement à gauche depuis 200 ans dans notre beau pays. Je comprends que les nationalistes qui vivent en Bretagne (ou dans l’ouest, de manière générale) comme vous en aient sérieusement marre d’être entourés de gauchistes, de protestants débiles et de cathos collabos, mais prenez-vous en d’abord à vos voisins avant de vous défouler sur autrui.
SupprimerJe suis content de vous avoir rendu service ! Vos cartes montraient déjà les écarts entre la France des (catholiques) Plantagenêts et celle de Macron (pour lesquels les musulmans votent à 90 %, ce que vous ne contestez pas et ce qu'on voit bien dans les villes à forte population immigrée). Tout au plus cette carte-ci permet-elle de bien souligner que le vote pour le F.N. se concentre dans les régions du nord et du sud, quoique l'Alsace, notre province la plus orientale, et la plus protestante,, vote pour le F.N. ! Je ne doute pas, d'ailleurs, que vous allez ajouter cette carte sous les deux que vous aviez choisies afin d'en faire pleinement ressortir les (éventuelles…) différences… et ces ressemblances que vous voyez !
RépondreSupprimerIl se peut toutefois qu'une explication de votre commentaire se trouve dans une confusion que vous feriez (?) entre l'est et l'ouest : vous déclarez que je vivrais… en Bretagne ! Votre boule de cristal a dû tomber en panne, car ma province est plus à l'est que la vôtre.
« Damned ! Encore raté ! »
Ben oui : le nord, le sud et l'est votent FN (ou s'abstiennent), c'est bien ce que j'écris depuis le début.
SupprimerVous êtes complètement à l'ouest, cher ami.
Par ailleurs, vous devez bien vous douter que je me fiche intégralement de l'endroit où vous habitez réellement, ainsi que de votre identité et de votre profession. Quant à votre âge, je ne me risquerais pas à faire le moindre pronostic... Votre pseudo laisse entendre que vous avez 15 ans et demi, mais si ça se trouve... vous en avez 45 ! Allez, c'est terminé. Du balai.
C’est avec une surprenante régularité que je suis titillé par des crétins du modèle de ce « Donald Sch’Trumpf ». Ils entrent chez moi (c’est-dire sur mon blog), posent les pieds sur la table, se curent le nez et m’engueulent. Par principe, je ne leur coupe pas la parole, et leur donne des réponses argumentées. Mais il va sans dire que lorsqu’ils sont particulièrement gratinés comme ce Sch’Trumpf, continuant à produire leur logorrhée sans avoir pris la peine de me répondre, avec toujours les pieds sur la table et les doigts toujours bien enfoncés dans le nez, je les vire sans aucun état d’âme.
RépondreSupprimerIl faut savoir que ce Sch’Trumpf m’envoie maintenant plusieurs messages épileptiques par jour, en hurlant à la censure, tout excité comme un pou... « Vous aimez tant que vous censurez ! Laurent James le luciférien ! » m’a-t-il ainsi écrit tout récemment.
Je ne te censure pas, mon ami, je te fous dehors de chez moi à grands pieds dans le cul. Exactement comme je le ferais dans la vraie vie.
Tu saisis la nuance, j’imagine ?
Quant à la notion de censure, elle ne me gêne pas le moins du monde. Je rappelle qu’en tant qu’anti-démocrate irréductible, je suis résolument opposé au principe de la liberté d’expression pour les crétins, les idiots et autres nuisibles.
Bonjour,
RépondreSupprimerLa France, la Gaule ou la Celtide, c'est tout simplement "La Femme", son Esprit, son Amour et son immense action civilisatrice que l'on a toujours tenté de cacher ou de soustraire à l'histoire.
Mais on n'y est jamais vraiment parvenu.
La Nature faisant toujours bien les choses, le cerveau humain est ainsi fait qu'il imprime, mémorise et n'oublie jamais.
https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.fr/
Cordialement.
Que faire, dans ce cas, des soulèvements anti-révolutionnaire Bretons et Vendéens?
RépondreSupprimerQu'ils soient mille fois bénis, bien sûr !
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